L’AAC joint sa voix à 16 organisations d’affaires, à l’IETA et au WBCSD pour la mise en place d’un marché de carbone.
2 décembre 2015
Dans le cadre d’une rencontre de l’IETA (International Emissions Trading Association) à COP21, l’AAC joint sa voix à 16 organisations d’affaires et au World Business Council on Sustainable Development (WBCSD). L’AAC a pris position concernant la pertinence de mettre en place un marché du carbone afin d’activer le potentiel de réduction d’émission de GES. Cette prise de position a été rendue publique par l’IETA aujourd’hui à 17 h 00 (heure de Paris) par communiqué de presse.
Position de l’industrie de l’aluminium du Canada sur le marché du carbone
« Au terme du Sommet de Rio il y a plus de 20 ans, l’industrie canadienne de l’aluminium s’est engagée à réduire le plus possible son bilan de CO2. Notre industrie a relevé le défi avec brio : nous avons atteint le seuil technologique en matière d’émissions de GES. Les marchés du carbone représentent désormais les nouveaux échiquiers d’une économie mondiale décarbonisée. Les impératifs de réduction des GES, lorsqu’ils s’insèrent dans un cadre réglementaire réaliste et prévisible, deviennent d’efficaces indicateurs de rendement sur lesquels bâtir. Les systèmes de plafonnement et d’échange incitent les organisations à participer activement à l’atteinte des cibles en mettant en œuvre des solutions opérationnelles qui leur profiteront, mais aussi à leur pays et à toute la planète. »
Jean Simard, président et chef de la direction, Association de l’aluminium du Canada